Les déplacements 2002-2003






PARIS SG - CHATEAUROUX    (amical à Blois)
AMIENS-PARIS SG    (amical)
DYNAMO ZAGREB-PARIS SG    (amical à rouen)
SPORTING CLUB PORTUGAL-PARIS SG    (amical)
SK LIERSE-PARIS SG    (amical au touquet)
BORDEAUX-PARIS SG    
CELTA VIGO-PARIS SG    (amical)
LE HAVRE-PARIS SG    
LILLE-PARIS SG    
MONTPELLIER-PARIS SG    
UJPEST-PARIS SG    
SEDAN-PARIS SG    
BUCAREST-PARIS SG    
MONACO-PARIS SG    
BOAVISTA-PARIS SG    
RENNES-PARIS SG    
BESANCON-PARIS SG    
AJACCIO-PARIS SG    
NICE-PARIS SG    
























PARIS SG - CHATEAUROUX

Ca y est, ce qu’on attends tous depuis le déplacement à Lille, la saison reprend. Cette fois ça sera un match à Blois contre Châteauroux, qui nous offrira notre premier déplacement. Comme aux kriek, on est fous, on partira à deux dans deux trains séparés. Pour ma part après avoir multipliés les aller retour dans Paris j’prend le train vers 16h, alors qu’à la base j’devais prendre celui de 13h41.. Mais bon c’est pas grave ça me permet de repartir de Blois avec un joli cadeau, pour savoir ce que c’est fallait être là ! Mon compère du jour, c’est bien évidemment Alka, qui lui part avec le train de 16h30. Après m’être perdu avec deux tigris, dans le centre de Blois, et après avoir vu les contrôleurs des transports blaisois, j’retrouve Alka à la gare ainsi que Cochonou des Boulogne Boys. Vu qu’on est des oufs, on part au stade en taxi, et on arrive pile à l’heure. On bâche, les LF bâchent peu de temps après à coté et c’est donc bien entourés qu’on va commencer le match. Quelques torches égayeront l’entrée des joueurs, et quelques chants partiront (ça fait du bien quand même..), ensuite c’est le show saucisse merguez des LF pendant quasi tout le match. À noter qu’on s’apercevra pendant la première mi temps qu’on avait mis la bâche Kriek à l’envers.. Sans commentaire.. Enfin si c’était sûrement à cause de la fouille très sévère et du plan anti heineken de 50cl (putain j’me suis fais avoir !!), bon sinon sur le match que dire de plus qu’on s’est bien marré, qu’Alka a bien failli déclencher une émeute, qu’on a perdu (on change pas une équipe qui …), que tout le monde était présent, en nombre pour un amical, que beaucoup de torches ont été craqués, qu’on s’est bien marré.. (merde ça j’l’ai déjà dis..), que samedi faut remettre ça en mieux !! Voilà, pour le retour, on s’arrangera avec les LF et deux sympathiques LF nous ramèneront direct au parc (merci). Retour vers 23h00, ce qui permet aux deux Kriek présents de rentrer sans problème. C’est tout pour ce premier déplacement de la saison, en tout cas ça commence bien, vivement la suite !! !! !!

Kant


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AMIENS-PARIS SG

Deuxième match amical de la semaine et très forte mobilisation du coté des Kriek … enfin très forte c’est façon de parler parce qu’en fait j’étais tout seul. Mais bon, à défaut de quantité, on peut tout de même parler de qualité. Le match n’ayant plus lieu à 18 heures comme prévu, mais à 15 heures, histoire d’éviter un trop fort contingent parisien, je prends donc un train pour Amiens vers midi. Un petit voyage tranquille, suivi d’un périple dans la sinistre cité amiénoise et pouf pouf badaboum me voici arrivé au stade de la licorne.
Un petit bonjour aux parisiens qui attendent dehors, j’achète ma place à 5 euro , passage de fouille un peu casse couilles pour un vulgaire match amical … et je peux enfin entrer dans le stade. Le stade est franchement bizarre. Il est tout petit avec un toit vertical … très laid ... y a pas de quoi être fiers messieurs les architechtes ! ! On joue encore avec le maillot de la saison dernière sans sponsor. Tous les groupes sont representés. Le match débute avec quelques fumis et pots de fumés de notre coté. L’ambiance est franchement bonne pour un amical. Amiens marque un but , puis un autre sur penalty avant la mi-temps. L’ambiance en prend un certain coup. La mi-temps arrive, tout le monde discute dans son coin et le jeu reprend sans que les discutions ne cessent. Le stade est vraiment silencieux, c’est limite trippant ! Amiens marque un troisième but … ça devient franchement inquiétant. Juste avant la fin du match l’ambiance repart … histoire de finir en beauté, mais ceci n’y changera rien. On perd 3 à 0, tous les joueurs viennent nous saluer, ça fait quand même plaisir. Le stade se vide, nous on reste bloqué … même en amical …
Je rentre dans une voiture de Boys (merci à eux) … et j’espère de tout cœur que la suite de la saison sera bien plus passionnante.

Alkaline


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DYNAMO ZAGREB-PARIS SG


Rendez-vous était donné pour le départ de ce déplacement dans la banlieue nord. 2 Kriek sont du voyage , Mr Propre et moi (si vous voulez vraiment savoir qui c’est, regardez la signature en bas). A notre grand bonheur nous embarquons avec nous le 4ème des mousquetaires, j’ai nommé M D’Artagnan des Lutèce. Départ relativement tard (éh ouais y en a qui bossent) donc on fonce directement vers Rouen. Tout va bien au début, pas grand monde sur la route … mais après ça se gâte. Embouteillage suite à un accident à Cergy … une heure de perdue, puis tout s’enchaîne, on réalise le grand chelem avec entre autres des feux rouges au milieu de nulle part, des tracteurs, des camions, des autocars, des voies à circulation alternée, encore un accident … donc en gros les minutes défilent pas les kilomètres. On arrive à l’entré de Rouen à 19h … c’est le début du match. Reste à trouver le stade … pas évident ! ! On cherche on cherche et on trouve pas, au bout d’une demie heure on trouve enfin. Le temps de se garer et on arrive devant le stade juste avant la mi-temps, en même temps que les Lutèce. Et là encore une super bonne nouvelle la place est à 15€ ! ! Putain mais on se fout de notre gueule là ! Hors de question de lâcher 15€ pour une mi-temps … on part donc avec les LF pour trouver une entrée « moins chère » dirons nous. On trouve un plan en passant par le jardin d’une belle propriété … mais les propriétaires n’ont pas l’air d’accord. On continue à faire le tour … on escalade un mur, on se retrouve sur des terrains de tennis, on avance, et là y a pas moyen d’aller plus loin … c’est blindé de flics. Finalement on va voir les stadiers, on leur explique et gentiment ils nous laissent passer.
C’est la mi-temps, le score est de 0 à 0. On se paye une petite bière (c’est l’avantage des matchs amicaux). Et on part retrouver les autres parisiens présent. Je parlerai pas de l’ambiance parce qu’il n’y en avait pas. Sur le terrain on gagne 1 à 0 grâce à un penalty de Aloisio (wahou ! ! !) Et c’est déjà fini. Des torches partent sur la gueule des joueurs de Zagreb. Et nous on sort. On part avec les Lutèce dans un petit bar portugais en face du stade. Les demis s’enchaînent, victoire de la Kriek team sur la Lutece team au baby-foot. On récupère Viola et Thierry pour le retour (ça devient une voiture Lutèce ;) ) Un petit tour au McDo puis on file sur Paris où nous arriverons peu après minuit.
Voilà pour ce déplacement bien tranquille … pas très foot mais bien tranquille quand même J ! Et comme diraient nos compagnons de voyage « on lâche rien ! » ce week-end direction Lisbonne !

Alkaline


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SPORTING CLUB PORTUGAL-PARIS SG


Poursuite de la tournée des matchs amicaux avec pour ce week-end, une escapade au « Portougal ». Sont sur le départ au rayon kriek : alkaline et moi-même.
Rendez-vous fut donc pris à Roissy à 6h15 du matin (ben voyons …) non sans avoir échappé à la police auparavant. Nous retrouvâmes Baron et Cochonou des BB85 avant d’embarquer vers le pays des lavandières et de pleins d’autres choses… Voyage paisible et sans encombre et nous débarquons à 9h à Lisboa. C’est à partir de dorénavant que votre serviteur va faire montre d’un sens de l’orientation défiant toute concurrence pour rejoindre la gare afin d’y récupérer deux LF répondant aux doux noms de D’artagnan et … Relou. Une fois la petite troupe au complet et après un énième petit dej de Baron nous nous égarons un petit peu dans la ville avant de se trouver un petit troquet pour reprendre des forces. Au menu : pour les Kriek : 2 bières, pour les LF : 2 bières, pour les BB : … 2 fanta citron ( ! ! !) J’en connais que ça va faire jaser.
S’en suit un après-midi avec excursion jusqu’au stade de la Luz de Benfica, qui n’a de stade que le nom tellement son état de décrépitude est avancé et enfin arrivée au stade de Alvalade, objet de notre visite ici.
Après quelques palabres avec le caissier (félicitations à D’artagnan pour son hispano-luso-anglo-français qui nous aura bien aidé) pour savoir où se mettre dans le stade, nous glandouillons (sic) en attendant l’ouverture des portes.
Nous entrons au stade (sympa comme tout, environ 70000 places, toit sur une seule latérale), parlementons avec les policiers pour rejoindre le petit carré dévolu aux visiteurs et bâchons tranquillement. Un membre des Torcida Verde vient nouer quelques contacts avec échange d’écharpes et d’adresses e-mail. A cette occasion Cochonou nous donnera à tous une petite leçon d’anglais : « I envoie you my photos ». Rien à dire !
Nous assisterons à la présentation du SCP nouvelle version (trop passionnant) puis enfin le match. Coté Juve Leo et Torcida trois grandes voiles au coup d’envoi, peu de chants entendus (nous étions en ¼ de virage opposés à eux) et 2, 3 grecs sympas pendant le match (pour les juve leo). De l’autre coté le Directivo Ultra XXI avec des drapeaux tout le temps agité assurera pendant 90 minutes de chants sans s’arrêter … avec une bonne sono (quand même)
Chez nous quelques chants distillés avec grâce ( ! !) et des montés de grillages plutôt dangereuses. Et enfin les joueurs : Alonzo nous donne de l’eau, Cisco envoie son maillot, Déhu salue et … c’est tout. Merci aux autres.
Nous discuterons à la fin avec les gars du bureau des juve leo, puis nous partirons à la recherche de victuailles pour nous restaurer. Nous trouverons un espèce de troquet qui fera l’affaire et nous rejoindrons l’aéroport … à pied. 1h40 de marche vers 3h du mat’ ; aucun commentaire, ça ne se commente pas , ça se vit.
Une fois à l’aéroport j’en profite pour dormir un peu non sans me faire un pote manouche. Alka lui ne lâche rien et, aux dernières nouvelles n’aurait toujours pas dormi. Nous attrapons le premier avion de 7h40 avec Baron et Cochonou tandis que les LF rejoindront la gare pour rentrer en train. Courage à eux qui arriveront à Paris plus de 24h après nous.
Nous atterrissons à un peu plus de 11 heures sur notre cher sol ; encore un petit peu de RER et nous toucherons au but. Vivement que la saison reprenne que l’on fasse de vrais déplacements ! ! (Ah Ah Ah ! ! !)

MR Propre


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SK LIERSE-PARIS SG


La tournée des matchs amicaux continue avec cette fois ci une escapade au Touquet pour un match contre les Belges de Lierse. A peine les formalités d’ordre professionnelles terminées, je saute dans un train pour Amiens, un rapide changement et direction Etaples par un sympathique TER. J’arrive à la gare d’Etaples 20 minutes avant le coup d’envoie. Je saute dans un taxi (section VIP) et j’arrive au stade juste avant le début du match.
Le stade du Touquet est un bon vieux stade champêtre comme on les aime, avec une tribune en latérale, une autre derrière un but et … c’est tout. Les fans parisiens et les fans belges sont situés dans la tribune derrière le but. Sont présents coté parisiens les Boys, les Lutèce, les Supras, le PAC et Mr Propre de chez nous. L’ambiance est franchement pour un simple match amical. Les torches sont présentes en masse, et les 2 groupes de supporters chantent chacun leur tour, à qui gueulera le plus fort. (c’est nous qui chantions le plus fort tralala lalère) Sur le terrain l’équipe joue pas mal et sur le premier but, nous réaliserons une superbe montée sur le grillage. Les Belges égalisent, mais ça j’ai pas vu j’étais parti à la buvette. La mi-temps est sifflé, les stadiers viennent réparer les grilles qui ont bien mangées sur les grilles.
La deuxième mi-temps reprend, les flics viennent se placer devant nous, les chants sont un peu moins puissants et réguliers mais l’ambiance reste correcte. Cardeti marque deux buts, ce qui nous permet de grimper deux fois encore sur le grillage. L’arbitre siffle enfin la fin du match. Tous les joueurs viennent nous saluer et jettent les maillots. Mr Propre après avoir récupéré un ballon avant le match récupère le maillot de Cristobal … Y en a qui sont pas reparti les mains vides ! On se trace direct du stade non avoir eu du mal à détacher la bâche. Je rentre donc dans la voiture de Propre et après s’être tapé un détour de fou, nous arrivons sur Paris vers minuit.
Ca y est c’en est fini des déplacements pour les amicaux, maintenant place au championnat !

Alkaline


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BORDEAUX-PARIS SG


Premier déplacement pour un match officiel de la saison, et on est gâté puisque c'est chez nos " amis " Bordelais que nous nous rendons. La LFP (faut dire comme ça maintenant) nous a gentiment avancée le match au vendredi soir, sûrement histoire d'éviter un trop fort contingent parisien. Ca a réussi, car seuls deux d'entre nous parviennent à se soustraire à leurs obligations professionnelles. Je retrouve donc Propre vers 14h30 à la gare Montparnasse. A peine le temps de monter dans le train et nous partons vers la Gironde. 3 heures plus tard, nous arrivons à Bordeaux, nous montons directement dans un bus et nous arrivons au stade assez tôt mais trop tard pour participer au cortège.
La fouille est bien plus tranquille que l'année dernière et nous nous installons comme d'habitude dans la partie supérieure du parcage. En bas du parcage, on retrouve les Boys en haut les Tigris, Supras, Lutèce et un peu plus loin les Gavroches et les Rangers. Nous posons la bâche sur le coté du parcage face au virage sud. Le parcage est vraiment bien rempli, on est serré comme des sardines, les premiers chants sont lancés et ça pète bien. Au début du match, plusieurs étendards sont de sortis de même que quelques torches. Coté bordelais, franchement pas grand chose à signaler … des papelitos et c'est tout. Pendant le match l'ambiance sera excellente, avec quelques nouveaux chants qui promettent bien. Une ambiance de fou donc et sur le terrain, l'équipe tient le nul. Le virage sud sort alors une banderole en notre honneur (même si perso, je préfère les stations de ski dans les alpes mais bon…) et nous leur répondant par un vibrant petit chant. Le score reste vierge sur le terrain, mais dans les tribunes il n'y a pas photo. On ressort du stade après une courte attente, et nous rentrons dans le car des Tigris (merci à eux). Le retour sera enfumé et donc bien agréable (n'est-ce pas Propre ?) Et nous arrivons sur la capitale vers les 7 heures du matin.
Les matchs officiels ça n'a rien à voir avec le reste , et en plus ce Bordeaux là était une bonne cuvée !

Alkaline


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CELTA VIGO-PARIS SG

En ce mardi du mois d'aout, le Paris SG, nous pond un amical à vigo ! Rendez vous était pris à Denfert avec Alka et Normande pour rejoindre Orly. 4h plus tard nous débarquons en Galice, non sans une petite escale à Madrid. Direction le centre ville, ravitaillement au McDo, croisage de Berizzo et en route pour la plage. Trempette et photobaches devant une mer pas encore souillée à l'heure où j'écris ces lignes. Grosse galère pour arriver au stade, par des petites ruelles dont moi seul ai le secret. Match insipide des notres et nous remercierons les joueurs de nous avoir autant salués (seul Alioune Touré nous aura vu). Après une si grande performance nous prendrons un taxi(à 5 !!) pour retourner à notre hotel justement nommé: aeropuerto. Nuit de clochard entre les portes d'accès au terminal ( fermé) puis retour à Paris pour certains, vacances à Barcelone pour les autres.
NDLR: si vous trouvez que ce CR est nul envoyez "merci Manu d'avoir perdu le CR" à l'adresse email qui suit, misterkant@aol.com

Mr Propre


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MONTPELLIER-PARIS SG


Montpellier, dernier espoir de voir le soleil en déplacement avant un petit moment, on pensait que ça mobiliserait les Kriek, mais faut croire que nan, on n’est que deux à prendre le départ pour la ville des punks à chiens.
On part donc tôt de gare de Lyon, après une nuit courte et agitée. Le Tgv duplex qui nous emmène, est blindé, et c’est face à un couple de vieux, enmerdant au possible, m’en fous, j’leur refile mon angine; et puis ça passe vite, ça ne met que 3h15. Tient ça me rappelle une banderole ça nan ?
Débarquement du train, direct au fitzpatrick, après avoir croisé les boys, et quelques milliers de punks à chien. On boit, et puis ayant eu vent d’un tournoi à Pallavas les flots, on décide de s’y rendre. Manque de pot, les bus sont en grèves, et on doit en prendre un autre qui nous dépose assez loin, mais bon. On marche on marche, putain que c’est long, mais bon, on arrive finalement sur cette plage. On retrouve toutes les composantes d’Auteuil, et on se pose sur la plage, ça fait trop de bien. Mais ça sent la fin de saison touristique quand même. On se fout en terrasse avec des tigris, on mange et on boit, pendant que les forces de l’ordre (?) s’évertuent à nous montrer que leur connerie est sans limite.
Puis vient bientôt l’heure de se rendre au stade, on se met d’accord avec les LF pour qu’ils nous emmène jusqu’à la mosson , puis on se dit qu’on va pas devenir des briseurs de grèves, ça ferait mauvais genre pour des routards, alors, on se résout à prendre ce putain de bus. On attends, on attends, presque aussi longtemps qu’on a marché toute à l’heure. Et finalement ce putain de 17 se décide à venir, avec l’Allemagne profonde à bord. (ah bah c’est beau). Après moult pérégrinations teutoniques, on arrive enfin à la comédie, où un pote nous attends, et de là nous partons au stade en voiture. (merci Nico.. ) on arrive pas en avance, mais pas en retard et là on tombe sur la comédie habituelle pour les places.
Guichet visiteur: pas de places moi, aller voir devant la tribune
Steward: pas de billet on passe pas
Un mec en polo: les parisiens ? Plus de places
Bref c’est comme d’hab, seuls qu’on doit se débrouiller, on finit par rentre après avoir tout laissé, mais alors tout, à la consigne. Le parcage est rempli, le stade aussi (sans le troisième étage de l’espèce de truc à droite que nous, j’pourrais regarder le nom sur le billet mais bon j’ai la flemme, et moi à part la Canigou j’y connais rien à la mosson…) l’ambiance sera moyenne, avec quand même, de bons moments surtout cotés TM-SA. Après le match, les forces de l’ordre (on a les noms de ceux qui font les cons !! ) nous prouvent que finalement si la seule limite à leur connerie est l’imagination, ils auraient pensé à nous faire passer dans la flotte pour sortir ils l’auraient fait !! Bref c’est la merde, il fait froid et ça va être galère pour trouver un hôtel. Finalement nan le deuxième qu’on essaye nous accepte, c’est cher mais deux lits séparés et douche chaud ouaaaaaaah ça fait du bien.
Lever 10h30, et hop direction la gare, là c’est cher, et tout est complet mais bon faut bien, on va pas devenir punk eleveur de chien (nourri avec pedigree pal !!), en attendant, on re squatte les terrasses, les mac do, et puis les parcs.. Toujours en compagnie des punks. Puis c’est l’heure de repartir, tgv direction paris, et arrivée à 17h30 sur Paris.. Aller deux jours de vacances avant Budapest..

Kant


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LE HAVRE-PARIS SG


Que dire du déplacement des Kriek au Havre ? Excellents messieurs ! ! Même s’il est vrai qu’on a failli revivre le remake de Bar-sur-Seine, euh, je veux dire de Sochaux. Mais cette fois-ci il y avait au volant Schumacher alias Dodu et non Alesi alias (il a tenu à garder l’anonymat, donc on l’appellera Brandon), dérapage à gauche, à droite pour tout simplement repartir tout droit ! Ouf ! ! Ensuite une petite pause de vingt minutes avec reb-bull, bédo, bière … et foot pour les plus tarés d’entre nous et enfin on repart vers Le Havre.
On arrive là bas avec pas moins de quatre heures d’avance, on enchaîne ensuite avec des trucs de oufs en attendant de pouvoir rentrer dans le stade. On marche, on se pose, après on se déplace d’au moins cinq mètres et on se pose à nouveau. J’avais prévenu … des trucs de oufs ! Ensuite on donne l’argent pour les places à Brandon … euh pardon à Propre pour qu’il aille les choper.
Une fois les places enfin dans nos mains, on peut rentrer dans le stade Jules Deschaseaux. Un bon vieux stade à l’anglaise. Tous les groupes sont présents et on pose la bâche complètement à droite à coté de celle des Boys. La suite est simple, on attend que le match commence. Arrivé des joueurs pour l’échauffement avec un maillot en l’honneur de Mono, membre des Karsud décédé.
Parlons du match, première mi-temps assez pour ne pas dire très moyenne, on avait l’impression d’un match amical. Seule satisfaction la tribune, ça a bien chanté avec de sympathiques chorégraphies. Pour la deuxième mi-temps c’est la même chose, sur le terrain ça aurait pu jouer 4 heures sans qu’il n’y ait de but. Mais nos faignants de joueurs ne voulaient certainement pas jouer pendant si longtemps, et puis au niveau des cordes vocales ça nous arrange un peu, alors à la 91ème Aloisio sort de nulle part et marque de la tête. Le hold-up parfait, c’est le chaos dans le parcage ! Plus qu’un truc de oufs, c’est carrément du niveau psychopathe ! ! Après une courte attente dans le stade, on repart en direction de Paris non sans s’arrêter sur une aire de repos pour réaliser 2 ou 3 photos agrémentées de fumées en tout genre. Sur la route la deuxième voiture Kriek manquera de peu à son tour d’avoir un accident, c’est la mode dans le groupe ! Voilà c’est tout (et c’est déjà pas mal) … à la prochaine !


Merci à Dodu, Mickaël, Huskie, UDC, Aurélie, Jo, Propre, Kant, Alka, et moi même pour ce déplacement de oufs, que dis-je de psychopathes !

Willy le roux


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LILLE-PARIS SG


Lille, un mercredi, 5 Kriek (Willy, Propre, Dodu, Alka et moi) dans la Dodumobile pour un RDV à Montreuil. Départ super rapide avec 8 km de bouchons dès le départ sur l’A3. On décide alors, à l’unanimité, si, si, je vous jure, de prendre des petits chemins, des raccourcis quoi, ZI de Rosny, N3 de aussi bouchée que l’autoroute, plus divers autres passages . Enfin l’A1, on roule pépère, on n’ pas pressés, il fait beau, 8°6 à fond dans les oreilles… car ce soir c’est la guerre… on parle un peu quand même entre chaque chanson. On ébauche quelques sujets quand la musique reprend et qu’il est temps… de savater un gros moustachu. On écoute quelques musiques italiennes puis une petite pause sportive s’impose. C’est que nous, ça nous démange le sport. On a ça dans le sang et quelques groupes à Paris le savent bien. Un petit bedo , quand même avant et pendant aussi, ce qui aide l’imagination, mais pas la réalisation footbalistique. Et oui, on s’entraîne car dans quelques jours une rencontre, que dis-je, un affrontement se prépare (d’où la mise en avant de notre réputation énoncée quelques lignes plus tôt si tu suis bien le CR). Toujours le ballon en action, on s’entraîne à essayer foutre cette putain de balle (qui ne veut pas) dans le trou d’un jeu de plein-air pour enfants. Juste au cas où pour notre rencontre, il y aurait ce genre de choses sur le terrain. Allez, fin, après ¼ d’heure intense, gâteau de maman Willy, repos et bédo. On repart, une petite blague à Propre au passage et direction Lille pour rejoindre Kant. On passe notre dernière heure à jouer à « Attention à la marche », si, si c’est possible. Propre en sera le vainqueur. Bref, on arrive bien en avance. On fume, Kant arrive plus 2 LF et on va au stade sans billets. On poirotte (sans commentaire). On rentre quand même. Le secteur est plein . RAS côté Lillois, RAS sur le terrain. Côté visiteur une ambiance avec des hauts et des bas, des coups de matraques et des charges ponctués par l’arrestation de Viola qui prolongera son séjour lillois. Tout finira bien, on décroche la bâche et on attends… La fatigue s’installe pour les travailleurs du jour, et ceux du lendemain pense déjà à leur tournée (pas de commentaire, ah si, les krieks enculés, Yann enculé). On sort un par un entre deux rangés de RG et CRS qui piochent au hasard et fouillent. On rentre vite fait, Kant remplace Alka qui partira avec les LF qui très gentiement le laisseront travailler en paix!!

UDC qui ne partagera plus ses expériences de travail


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UJPEST-PARIS SG


Premier déplacement européen de la saison et encore une fois, on change pas les bonnes habitudes, c’est en Europe de l’Est que nous nous rendons, plus précisément à Budapest , cité bien connue par les amateurs de film de charme. Le départ est fixé au mardi, le temps pour certains de régler quelques formalités d’ordre judiciaires ou bancaires. Nous sommes donc trois à nous présenter sur la ligne de départ et plus précisément et par ordre de taille décroissant Kant alias « le narcotrafiquant », un mousquetaire des Lutèce plus connu sous le nom de D’Artagnan , et enfin le plus petit mais pas le plus jeune moi-même.
Direction donc la gare de l’Est, on se ravitaille, et on part dans l’inconnu, sans frémir car des forces divines semblent nous protéger … direction Strasbourg. Quelques heures de train ponctuées par le passage de contrôleurs ayant de bonnes têtes de vainqueurs et nous voici dans la cité alsacienne. On se dirige vers le centre ville, on saute dans un bus, et hop, nous voilà en Allemagne, le pays où est né le mouvement D-U-A (attention on respecte SVP !). On se pose devant le caillou bien connu par tous les auto-stoppeurs germaniques et la galère commence. D’Artagnan montre une bonne volonté mais elle est mal récompensée. Puis on peut constater une chute vertigineuse de ma force charismatique avant que Kant ne se tape une bonne gaule, ayant réussi à faire s’arrêter une belle berline. Nous montons à l’intérieur, le conducteur est sympathique, mais il nous laisse 50 kilomètres plus loin sur une aire de repos. Mais pas n’importe laquelle puisqu’il s’agit de la célèbre aire de Bühl (ponctuer d’un wahou lors de la lecture). Nous y passerons d’ailleurs la nuit, tellement il y a de chose à y faire. Le lendemain matin, un peu fatigués et démoralisés par une douzaine d’heure d’attente, nous séquestrerons un Français qui passait par là pour qu’il nous dépose à la gare de Baden Baden (ou êtes vous mon général ?? ). On prend un train pour Karlsruhe puis un autre pour Stuttgart et enfin un dernier pour Munich. Nous arrivons dans la superbe cité bavaroise vers les midi, le temps de manger et de faire des emplettes et nous partons pour notre pèlerinage annuel au stade olympique. L’après midi se passe tranquillement, bédos et petits dodos (mais pas des vrais parce que sinon Kant il va se fâcher). On retourne sur la ville, on occupe notre soirée à ne rien faire et on retourne vers la gare bien fatigués pour prendre notre train de nuit pour Vienne et surtout pour dormir. Oui mais voilà, en ce moment il y a la fête de la bière à Munich et la vision de centaine de Teutons éméchés en short en peau d’âne ne nous rassure pas. On se pose sur le quai, on attend le train et on peut assister à un retournage de jeune allemand par un vieil allemand. Notre train arrive, on se précipite dedans mais toutes les places sont réservées. On se retrouve coincés dans un couloir entre des allemands assez bourrus mais peu joviaux. La nuit va être longue. On essaye les strapontins … ça marche pas, les Teutons ne font que passer et en plus ils gueulent, on se pose devant les chiottes, ça marche pas les allemands sont comme nous quand ils sont bourrés ils ne font que pisser. Finalement on parviendra à fermer les yeux au maximum une heure et encore … ah j’récupère le clavier pour finir ce long CR. Pour savoir qui je suis regardez les signatures. C’est donc au petit matin que nous arrivons dans cette belle ville de Vienne, avec laquelle nous avons des relations quasi charnelles. (CF les deux passages l’an dernier…) Échaudés par nos deux premières expériences on décide de rester à la gare et d’attendre les autres groupes. Après les avoir un peu attendu ils arrivent, tout le monde s’occupe de ces billets et nous prendrons le même train que les Tigris et les Supras. On squatte le peu de place non réservées et certains en profitent pour faire un somme. D’autres goûtent au plaisir de la chair roumaine (ou allemande, de toute façon on s’en fout.. ). Pour ceux qui ont choisi de dormir c’est plutôt difficile entre les différents contrôleurs, et douaniers. Les douaniers hongrois remportant allégrement la palme du casse couille de l’année. (et tant pis si j’suis persona non grata quand ils me liront…) On passe donc tous à la fouille, deux fois, les passeports et carte d’identité sont inspectés sous tous les angles, certains flippent mais rien de grave n’arrive. Puis les douaniers nous prennent nos noms et nous filment. (voilà maintenant on a un dossier en Hongrie aussi.. ) C’est pour l’heure du déjeuner que nous arrivons à budapest. On congédie gentiment notre escorte pour aller se balader en ville, on en profite pour se restaurer au pizza hut. (messieurs les policiers si vous me lisez, ils s’en passent de belles dans les chiottes..) On file à l’Irish Pub, où pendant que d’Artagnan drague la serveuse, à ma grande honte j’m’endors sur le comptoir. Bon ça a pas duré longtemps mais j’ai honte.. Puis on se bouge lentement vers le stade, on suit les instructions des flics, et évidemment on est pas au bon endroit. On monte ensuite dans un bus, ne voyant pas de stade arriver, on descend puis on remonte dans le suivant, et finalement on arrive au stade. On y retrouve Propre, et un bon paquet de flics. On rentre les premiers en tribune (normal on était les seuls à ce moment…) on regarde un peu le matos d’Ujpest puis on attends. Les autres groupes arrivent un à un, et c’est là que nous apprenons la mauvaise nouvelle. (RIP Couly…) le temps pour tout le monde de digérer la nouvelle, et c’est le début du match. À l’entrée des joueurs craquage de torches (qui nous coûtera assez cher…), et les premiers chants partent. Ils seront continus jusqu’à la fin du match, malgré notre faible nombre. Une soixantaine tout au plus. Enfin faible nombre j’me comprends, parce que soixante, en semaine en Hongrie c’est déjà pas mal. En face seul les gestuelles rendent bien, et un chant aussi mais sinon ça reste décevant. Les roumains de l’an dernier avait été 100 fois meilleurs, alors qu’ils n’avaient pas la réputation (usurpée ?) des fans de l’Ujpest. Le but de notre équipe sera accueilli dans la quasi indifférence général, et la fin du match est vite sifflée. On apprend alors que les flics ont des photos des crakeurs, et qu’ils vont en arrêter deux (plus un LF arrêté à la mi temps). On doit alors donner 160€ pour que nos trois interpellés puissent sortir de leurs futurs geôles. (par la suite on a appris qu’ils ont eux même du filer 70€ chacun au consulat de Hongrie.. Sans commentaire…) les flics nous font alors sortir directement, sans escorte et on se retrouve à 60 dehors.
(Retour du premier narrateur) On se retrouve dans la rue, quelques mecs des UVB viennent échanger leurs écharpes. On part à pied vers la station , le tout bien groupé histoire de ne pas avoir trop de problèmes. Des mecs bien looks arrivent alors à notre niveau et commencent à nous chauffer. Ils ne sont pas nombreux, mais on préfère les ignorer. Ils vont jusqu’à nous lancer des pierres, on ne bronche pas. Un bus passe alors devant nous. On traverse pour monter dedans, mais les mecs en questions viennent alors au contact. Quelques coups sont distribués et le bus repart avec seulement une dizaine de Parisiens à l’intérieur. L’ambiance est électriques, les Hongrois continuent de nous chauffer. On ne peut pas trop répondre. Si on les retourne qu’est qui peut nous arriver après ? Un autre bus passe, on monte tous dedans et on part en direction du métro. Arrivés à la hauteur de la station, on ne descend pas … bonne initiative d’ailleurs car nous apprendrons plus tard que la station était blindée de casuals. On continue, on se retrouve au milieu d’une cité, et on repart à pied vers le métro. Mais les mecs nous y attendent encore. Propre pour pouvoir retourner à l’aéroport réussira tout de même à passer. Après avoir longtemps hésités nous montons dans un bus, non sans avoir du faire courir un tarré d’Ujpest venu tout seul au contact. On fait dix minutes de bus et on se retrouve dans la banlieue au milieu de nul part. Il nous faudra alors dix minutes pour aller prendre d’assaut un restaurant et appeler des taxis pour rentrer vers le centre-ville. Tout le monde rentre intact, et on se retrouve tous dans un superbe appartement loué par les Lutèce. La nuit est alcoolisée et enfumée et on s’en plaindra pas même si la fatigue nous terrasse assez rapidement. Le lendemain matin on repart tous ensemble vers la gare, ah non c’est pas la bonne, donc c’est l’autre… On y arrive tout de même et on se pose dans le train. Le trajet est rapide puisque tout le monde dort, nous sommes juste réveillés par des douaniers bien moins zélés que ceux de la veille. Arrivés à Vienne on repart dans le J9 ou plutôt le J12 des Tigris. Le trajet est bien tranquille agrémenté par une bonne cassette de ragga. Eric Jean-Jean nous permettra de se taper quelques délires. On traverse l’Autriche, l’Allemagne, puis on laisse Kant à Metz (ce serait trop simple pour lui de faire le retour d’un coup) et on fonce vers la ville lumière que nous atteindrons en début de soirée.

Voilà pour ce premier déplacement européen de la saison. Merci aux Tigris pour le retour, les LF pour la nuit dans l’appartement, et tous les Parisiens présents.

RIP Couly …

Alka (pour le début et la fin), Kant pour le contenu !!!


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SEDAN-PARIS SG

On rentre de Bucarest le samedi soir et naturellement le dimanche matin on repart en déplacement. Mais cette fois-ci le cadre est bien moins bucolique puisque ce sont les Ardennes qui nous accueillent. Le rendez-vous, une fois n'est pas coutume est fixé au Parc des Princes. Sont présents la section tox de Clermont (Cyril, Capote et Cedric) ainsi que deux Roumains à peine raffraichis par une nuit de sommeil (Kant et Alka). Un petit ravitaillement en bière avant de partir, histoire de ne pas mourir de soif et direction le périph. Tiens on est à la porte d'Italie ! Et si on s'arrêtait pour manger histoire de ne pas mourir de faim. Allez cette fois on repart et pour de bon. Les bédos s'enchainent au rythme des kilomètres et vers 16 heures nous voici à Sedan. Un petit tour au camping pour bien vérifier qu'on n'y passera pas nos prochaines vacances et on bouge vers le stade. Au fait le match il est à 18h15 ou à 18h30 ?? j'en sais rien ... c'est pas grave. Une fouille de batards, mais les keufs ne chopent rien (ah ah ah on n'avait rien sur nous !! revenez une autre fois ... peut être que ...) Le parcage est assez plein mais pas trop ( expression normande) on se pose entre les LF et les TM et en dessous des ATK. Un petit match de merde comme on n'en avait pas eu depuis un moment même si vu le score l'ambiance était plus que correcte. A noter un Tigris Al qaida un peu collant... On ressort vite fait du stade, et direct dans la caisse. Cyril déposera une belle galette sur la route qui nous ramenera bien défoncés vers la ville lumière.

Alka



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BUCAREST-PARIS SG

Le tirage de ce deuxième tour de coupe UEFA nous a gâté, puisque nous tombons une nouvelle fois sur un club de la ligne de l'orient express, et pas n'importe lequel puisqu'il s'agit de Bucarest ! ville mythique s'il en est pour les Kriek. Après quelques recherches, on trouve un billet à un prix raisonnable et c'est donc deux Kriek qui vont s'envoler pour la roumanie. je dis s'envoler car oui une fois n'est pas coutume c'est en avion que nous ferons le voyage (rassurez vous, on va vite retrouver l'esprit raclo.. ou kaos c'est selon...). Dans l'avion nous nous retrouvons avec les 9 LF, les 6 SA, et les 2 ATK. Le voyage se passe bien, le Paris Amsterdam se distinguant grâce à une belle prestation de Karim, avec notamment un strip tease dans la zone de transit. bref c'est du n'importe quoi, tout le monde boit, et ça se voit. Tant et si bien, que sur le deuxième vol, les hôtesses essayent de nous interdire l'alcool, ça marche pour certains, mais des petits malins réussiront quand même à boire discrètement.(dire que la hollande, est censée être le pays de la tolérance...) Nous arrivons à l'aéroport de Bucarest Ottopeni vers 23h30 heure locale, c'est à dire 22h30 heure française. Pour économiser un peu, on décide de passer la première nuit à l'aéroport, c'est donc direct au bar que se dirige les 19 Parisiens, rejoint par la section Nice des Boys, puis par trois autres boys dans la soirée. On enchaîne les bières et les Bedos, tout le monde commence à se sentir bien à l'aise, et on part finalement se coucher parce que bon mine de rien, demain ya match ! on dort par terre comme des manouches, comme l'an dernier, mais cette fois ci on aura pas le droit de se poser à l'étage, donc on dormira au rez de chaussé. C'est moins bien mais bon... Le lendemain, les LF-ATK et Kp partent à la recherche d'un hôtel. Avant cela on récupère les Tigris qui ont fait le voyage en train et J9. C'est donc près de la gare que nous trouvons un hôtel correct bien qu'un peu cher, à part les SA, tout ceux qui dorment à Bucarest sont dans cet hôtel. On se réparti les chambres et ensuite c'est soit sieste soit mattage de bonnasse roumaine à la télé. Bien évidement deux LF, que je ne citerais pas (chambre 314 !!) ne peuvent s'empêcher de se distinguer en cassant les deux lampes de la chambre d'un coup.. (messieurs chapeaux !! ) Après s'être un peu reposé on part en direction du rendez vous avec l'escorte, en taxi. alors que certains payeront 1€ le trajet, notre taxi (et un autre) va nous faire payer plus de 100F, bref on est vener mais au moins on a permis à une famille de roumain de bouffer ce soir. Arrivée à l'hôtel Marriot d'où une soit disante escorte devait partir, on se retrouve entre parisiens, sans flics. On continue à boire, et on attends, finalement une escorte arrive. Trop impressionnante, ils sont bien 3 pour nous emmener. Bref on s'en fout, on veut juste qu'il nous montre le chemin du stade. Après 20mn de marche ('tain c'est à coté sur la carte !! ) on découvre ce magnifique stade dont j'ai oublié le nom. Les lumières sont encore éteintes pour pouvoir tenir tout le match sûrement (remember l'an passé). On est bien une quarantaine de parisiens et le bâchage cette année se passe sans problème. On a juste pas le droit d'être au premier rang.. En face le stade se remplit peu à peu (à 4F la place tu m'étonnes...), et on voit arriver le fameux groupe que tout le monde envie au national Bucarest, j'ai nommé les High Voltage Blue Knights Comming From Hell !! rien que ça les gars !! on a aussi le droit à un Fan Club Inter (faudra qu'on m'explique !!) et une bâche en rital qui parle d'exemple, d'ultras et de modèle. Les lumières allumées le match peut commencer, l'ambiance coté parisien est excellente, les mecs présents chantent, et c'est avec joie qu'on se tappe une descente sur le premier but. Les flics flippent un peu, et nous font remonter dare dare, on s'aperçoit qu'on a cassé 5 sièges en descendant, vraiment de la merde ce stade. On continue à chanter, l'équipe du National nous fait marrer (souvenez vous l'échauffement.. que du bonheur). On marque un deuxième but, nos chants ne faiblissent toujours pas, à noter une demi douzaine de torses nus la première mi temps sous la flotte. En face, c'est un peu n'importe quoi, à l'image du nom du groupe, mais bon on s'attendait pas au pana alors. Le match se termine, Laurent Leroy vient nous saluer, jette son maillot, letizi ses gants et son brassard. Le tout ira pour des LF, et c'est avec une petite escorte et à bonne allure que nous quittons le stade, direction le métro. Là on saute les barrières et on trace direct à la gare, on lâche les Tigris, et on va acheter des stocks de bière dans un supermarché local, histoire de pas perdre notre taux d'alcoolémie. Dans l'hôtel, les LF, les ATK, et nous même, nous retrouvons tous dans la même chambre, fumette et tise au programme. Le groom rentrera même pour nous proposer une pute (oué génial casse toi !! ), il est relou mais on s'en débarrasse. Vers 1h du matin, chute collective des Kriek qui vont se coucher (putain de fenêtre qui ferme pas !). lever 10h et hop départ pour la visite de Bucarest. Avant de partir on échange les clefs, pour bien foutre notre merde. Bucarest, on va d'abord au palais du Conducator ceaucescu, mais le prix nous refroidira, on se contentera d'une photo et d'une vidéo bâche devant le palais. Assez impressionnant d'ailleurs. On va ensuite se poser dans un parc près de l'Université, que nous essayerons d'ailleurs de pénétrer deux fois sans succès. Les bancs du parc nous servent alors de refuge, et c'est là que nous passerons l'après midi, à boire et à fumer. La nuit tombée, on part direction l'aéroport, en navette. Arrivée à l'aéroport vers 18h30, et traçage direct au bar. ils ont l'air content de nous revoir ! on y restera jusqu'à 6h30 le lendemain, finissant au passage le stock de skoll. Bambino nous gratifie d'une grande prestation, ainsi que Terron. ça les empêche pas de participer à un jeu de l'Ultra d'anthologie (et oui j'ai fini troisième !! ). Au fait d'Artagnan, Munchen Maniacs !! (private joke). On volera aussi le dictaphone des ATK se taper un bon délire à base de la tribune Gé la tribune Gé c'est des pd, je sais c'est puéril mais bon, c'est tellement vrai... (j'déconne planta !! au fait dans le cul planta !!) Vers 6h30, chute générale, on se réveille dans un coin de l'aéroport, certains gerbant, d'autres nous tapant des comas éthyliques. Finalement les flics roumains nous cachent dans un autre coin, et on dort jusqu'à 10h. A 10h, que croyez vous que nous ayons fais ? bah on est reparti boire, de la Tuborg cette fois ci. Puis c'est la douane, l'enregistrement et l'avion direction Amsterdam. Le voyage se passe bien, la majorité des mecs dormant ou essayant tout du moins. De même sur le amsterdam-paris, et c'est à 19h30 que nous arrivons dans la ville lumière, direction son chez soit. Ca passe par le RER, et là on croise un accordéoniste, on lui refile nos pièces roumaines, ça le fait marrer, c'est déjà ça. Voilà c'est tout pour ce déplacement un peu pas comme les autres. Merci à tous les parisiens présents, et plus particulièrement aux Lutèces et aux Authentiks.

Kant


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MONACO-PARIS SG

Petite, que dis-je ? Infime mobilisation pour ce long déplacement puisque seuls deux Kriek s’y sont rendus. En plus pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? Les deux s’y sont rendus de manières différentes. Pour ma part donc après un début de soirée arrosé, direction la porte de saint Cloud pour rejoindre les Lutèce. Avec attendage logique de car. Mais le temps passe vite car la compagnie est bonne (là je ne parle pas de la compagnie de car). Ca monte dans le bus je me case au milieu comme je peux bien entouré par une bande de jeunes toxicos devant et la mythique BAP sur ma droite. Trajet très agréable car sont également du voyage mes amis bibines, vinasses, et bédos. La musique est bonne ;) l’ambiance sympa, tout est donc réuni. La chute se produit sur les environs de 6 heures du matin et le réveil forcément délicat vers 10 heures. ON arrive vers midi à Monaco. Les cars restent en haut, et nous on descend vers le supermarché. Achetage de sandwichs et de boissons de toutes sortes et avec les membres de la BAP direction le port, pour un comatage en règle d’après les accords sur la manoucherie de Bucarest. L’après-midi se passe tranquillement, on remonte au car, puis on , redescend (ça fait con de le dire comme ça, mais c’est une vraie mission à chaque fois) On squatte devant l’entrée du stade, les keufs du coin saoulent déjà grave (ça ça rentrera pas, ça non plus … On verra bien mon pote…) Je retrouve Mr Propre qui lui a préféré venir en avion … tu m’etonnes ! On chope nos places et on fait les quelques mètres qui nous séparent de l’entrée du parcage. Tout le monde est sur la ligne de départ … attention…. on y va ! ! ! Belle entrée en masse des Parisiens avec enfonçage de ligne de CRS. Comme ça au moins tout est rentré. Le bâchage est chaotique avec en gros sur la droite du parcage, les groupes d’Auteuil et sur la gauche ceux de Boulogne. L’entrée des joueurs est saluées par quelques torches pour un bon rendu. Ensuite le parcage assurera une première mi-temps correcte mais sans plus. Il faut bien avouer que le parcage avait sa petite dose de touristes quand même. Mi-temps et animation des Tigris avec le déploiement de leur voile et ensuite l’agitation de petit drapeaux rouges et bleus … là aussi le rendu est vraiment pas mal du tout. Par contre l’ambiance chutera un peu, car sur le terrain ce n’est vraiment pas terrible. On se mange deux buts à la con et on repart avec une nouvelle défaite dans la gueule (3-1). On sort du stade, certains attendent le car des joueurs, moi je remonte avec les lutèce à notre car. Ensuite avec quelques uns on redescend on arrive pour une petite charge sur le car des joueurs suivies d’une petite rixe avec les forces de l’ordre. Force de l’ordre venant de Marseille qui chargent en gueulant « allez l’om » … agréable nan ? ?Ensuite tout se calme le car parvient à partir avec dans son sillage quelques enragés qui lui courent derrière. Nous aussi d’ailleurs on repart non sans avoir encore eu des embrouilles avec les keufs. Le trajet retour sera tranquille, à part quelques tentatives de pointage sur ma personne… (j’ai les noms des protagonistes ! !) On arrive sur paris vers 8 heures du matin … Un bon déplacement donc même si sur le terrain c’est pas trop ça en ce moment .
Merci aux Lutèces

Alka


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BOAVISTA-PARIS SG

Avant d'entamer cette partie, parlons des pions:
La dame: ou plutôt les dames, la première est la jeune vendeuse au stade qui n'a pas compris pourquoi Mr Propre achetait des tennis, mais voulait un sac mais pas la boite alors que 1mn avant Alkaline achetait un sac sans le sax et jetait l'ancien dans une poubelle, très compliquée cette histoire !! La seconde dame est l'agent de sécurité qui lors de mon passage était plus préoccupée par son téléphone portable que par la sonnerie intensive du portique, sans commentaire.
La tour: celle devant laquelle nous nous sommes fais photographier, une tour aux damiers noirs et blanc, avec nos écharpes noires et blanches, nous en avons rêvés, ils l'ont fait !!
Le fou: Le clochard qui était en train de faire les poubelles ressemblait comme deux gouttes de Kriek à Luis, une vision d'horreur ou d'avenir?? that's the question ! Le second fou est ce jongleur qui harangue la foule en équilibre sur un tonneau avant de jongler avec une hachette, une torche enflammée à la main et qui après deux lancés s'effondre, autant dire qu'il a fait un bide.
Le cavalier: Tel Zorro, ce chauffeur de taxi qui parlait correctement français et qui nous a remonté le moral sur notre championnat et qui ne nous a pas arnaqué sur le tarif. Un autre Zorro mais parisien celui ci, il se nomme Fred, qui nous a donné des places au stade gratuite, sympa le geste !
Les pions: nos joueurs, justes bons à faire la foire dans les boites de nuits parisiennes, mais incapables d'aligner deux passes de suite - les Panteras Negras de Boavista devrait envisager de changer de refrain - les différents bâtiments et lieux pittoresques tel ce marché aux vieilles baraques en bois
Le Roi: les trois plutôt ! les trois Rois mages que nous sommes Simbad, Alkaline et Mr Propre, pour avoir voyager dans des conditions bibliques, business class oblige. Les Rois des J9 pour avoir voyager 17h aller et idem au retour et que seuls deux joueurs ont eu le courage de venir saluer de loin, bravo mais mal récompensé. Le Roi Alkaline qui voyant des enseignes de grand Hôtel nous affirme que nous sommes dans un bon quartier. Juste avant de se faire aborder par une jeune fille aux intentions douteuses, c'est du joli Mr Propre.
En conclusion avec un jeu pareil, nous avons été échec et mat en 90mn en ce jeudi noir de Décembre.

Simbad


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RENNES-PARIS SG

Pour le dernier déplacement de l'année civile 2002, c'est à Rennes que nous nous rendons. Déplacement mythique pour les Kriek puisque finalement c'est bien là-bas que le groupe est né (enfin j'me comprends). Donc logiquement, vous allez me dire , y a eu une mobilisation de ouf ! Et là avec une certaine franchise je vous réponds "bah oui, on était deux". Je rejoins M. Propre à la gare Montparnasse sur le coup des 2 heures de l'après midi. Embarquement dans les TGV et direction la Bretagne. Le controleur ne passera pas, c'est con on avait composté. Après deux heures d'un voyage assez kaotique on arrive enfin dans le pays des bigoudines et des galettes saucisses. on sort de la gare, direction notre petit pub habituel (c'est du coté de la rue de la soif pour ceux qui connaissent) mais le problème c'est qu'on tombe nez à nez avec le marché de noël ...
Ce sera ici qu'on passera notre après-midi. Au menu, tartines à la raclette et vins chauds. Après ce moment gastronomique direction le stade. On arrive après vingt minutes au stade, quelques groupes sont déjà présents. On récupère les places (Morgan je t'aime !!) et on recule de quelques mètres pour squatter le parking.Vous me direz "mais qu'est ce que vous foutez sur un parking ?". Bah on fais chier les mecs avec des lampes qui gèrent les trois voitures qui se garent. Mais non on attend nos amis les joueurs. Et enfin ils arrivent encadrés par deux pauvres motards de nos autres amis les forces de l'ordre. Là je vous passe les détails mais quelques barières volent sur la route. Le car est obligé de s'arrêter et les coups de ceintures et de chaussures viennent percuter le car. Toout ça ne dure pas très longtemps mais au moins comme ça ces fumistes de joueurs savant à que quand on porte le maillot du Paris SG, il faut se battre pour ses couleurs. Une fois ces incivilités terminées, on rentre dans le parcage.
Comme l'an passé le parcage est séparé en deux. A gauche on retrouve Auteuil, et à droite Boulogne ... On se place à doc à gauche, Wissam s'occupe du bâchage, et c'est parti pour 45 minutes d'une première mi-temps équilibrée. Coté parcage on assurera pas mal, compte tenu de l'ambiance actuelle. La mi-temps est sifflée, et la deuxième débute. L'équipe perd complétement pied et les chants contre Perpere, contre Canal et contre les joueurs sont lancés. Finalement ce qui devait arriver, arriva ... on prend un but, et on perd. Tout le monde est dépité, les keufs nous font attendre que les joueuses partent pour nous faire sortir. On rentre dans le car des ATKs (merci à eux) et on arrive à Paris sur les coup des 4 heures du matin.

Alka


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BESANCON-PARIS SG

La coupe de France nous offrait pourtant un tirage alléchant, Besançon un club de national dans un petit stade, c'est toujours bon à prendre par ses temps difficiles. Malheureusement pour des raisons de gros sous, Besançon s'entend avec Sochaux pour jouer à Bonal. Déception pour nous mais bon comme il faut bien y aller, rendez vous est pris à la gare de l'est à 7h45. On arrive donc Aline et moi à la gare, et là message sur mon portable. Après info, Alka vient de se réveiller, il est à la bourre et nous conseille d'acheter des billets car pour lui le déplacement est mort. évidemment puisqu'il avait les billets j'vais au guichet et la j'retrouve Mr Propre et D'artagnan qui faisaient déjà la queue. Résultat on reprend des billets pour tout le monde. Heureusement, le train aura 20mn de retard ce qui permet à Alka d'arriver et à D'artagnan de se faire rembourser. On monte le voyage se passera tranquillement, avec des crises de fou rires qui reviennent souvent, on sait pas pourquoi.. On arrive à la gare, le temps de dire au revoir à Aline et on part acheter des billets. Pendant qu'Alka paye pour tout le monde (et oué c'est ça de pas se réveiller) je cours avec D'artagnan demander au contrôleur de retenir le train, et oué il a déjà 30mn de retard c'est pas 1mn30 de plus qui va le tuer. Résultat on se fait envoyer chier, et pour 1mn on va devoir passer 2h30 dans la fabuleuse ville de Belfort. (saturday after noon fever !! !!) il neige (mais non Aline a dit qu'il neigeait pas à Sochaux !) et donc on se réfugie dans le seul truc ouvert, un Flunch. On se gave même Propre qui n'a pourtant pas payé. On se réchauffe, et on part direction la gare pour reprendre ce putain de train. Malheureusement on ne revoit pas notre ami le chef de gare on aurait pu lui témoigner de notre éternelle gratitude. On retrouve un KSD et sa copine et c'est dans un p'tit TER que se feront les 18mn de voyage. Arrivée à la gare, Jérôme du Jura nous attends et nous prend en voiture jusqu'au stade. On y retrouve Flo' et son frangin et après une courte attente on rentre dans le stade. Fouille double mais insignifiante, et hop dans le parcage, là tous les regroupes sont représentés particulièrement les tigris qui ont fais un car pour ce match de merde, chapeau.. On ne bâche pas, par manque de place, flemme ou peut être désintérêt total pour ce match, mais néanmoins on fait comme tout le monde on chante. L'ambiance du début de match est bonne. Rien à dire jusqu'au penalty de Dehu raté. Là petit pétage de plomb de notre coté tentative d'envahissement de terrain, la grille sera ouverte mais malheuresement refermée. Les chants et chorées cessent alors, tout le monde regarde avec dépit cette nouvelle grande prestation de l'équipe (dixit Luis). Le but de la victoire est à peine salué mais c'est néanmoins dans la bonne humeur que nous quittons le stade. Là on se sépare, Propre et Alka repartent avec Jérôme et Flo' sur Dijon pour rentrer le plus tôt possible sur Paris (et oué yen a qui bossent...) moi j'repars avec Aline pour attendre le 2h16. On va au grec et on y croise D'artagnan et Rémy des LF, après un tour en voiture hop on les dépose à la gare, pour qu'ils rejoignent Alka et Propre. (je sais c'est compliqué) pour ma part c'est à 7h que j'arriverais à Paris un peu fatigué mais content du bon déplacement. Les autres, c’est à dire la section Jura qui habite à Dijon, et Propre et Alka se taperont la soirée à Dijon, à bouffer des pâtes au comté et aux lardons, à jouer au billard, et à boire comme des trous. Mais à part ça, ça bosse, je me marre …

Kant


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AJACCIO-PARIS SG

Premier déplacement de l'année en Corse ... Un petit voyage avec D'artagnan ... En train jusqu'à Toulon ... C'est chiant le TGV y a personne qui parle ... Arrivée à Toulon ... fait chaud ... En route pour le port ... Rencontre avec la section Nice des Boys ... Le ferry est vide ... on squatte ... on boit ... on bédave ... Match de foot sur le pont supérieur ... trop de vent, balle incontrolable ... On revient dans le salon ... musique, Tanguy pour aveugles ... on boit, on fume ... D'artagnan tombe dans les escaliers... on dort un peu ... arrivée à Bastia ... on squate un café ... puis train jusqu'à Ajaccio ... on fume ... y a personne ... neige dans les montagnes ... arrivée à Ajaccio ... squatage d'un bar avec les lutèce ... pietra, pain bagnat ... comme des anglais ... il fait chaud ... direction Carrefour ... voyage de roumain dans un coffre ... ravitaillement ... voyage de roumain dans un coffre ... on se pose sur la plage ... musique, les pieds dans l'eau ... on se pose, c'est trop bon ... le match risque d'être annulé, c'est relou ... on boit, on fume ... direction le stade ... voyage de roumain dans le coffre ... on boit ... direction le stade avec tous les groupes par les chemins de traverse ... place à 10 euros mais sans billet ... bachage délicat pour tout le monde ... une centaine de parisiens, ça le fait ... stadiers qui se prennent pour des cow-boys ... 15 minutes de retard... match de merde ... ambiance correcte en premiere mi-temps ... on fume ... ambiance en baisse sur la fin ... on ramène le nul ... on sort tranquille ... voyage de roumain dans le coffre ... direction l'hopital ... retour à la plage ... pietra, vin de pays, fromage, et charcuterie ... on boit, on mange, on fume.Question de culture générale... comatage de roumain ... réveil délicat ... aéroport ... discution avec journaliste qui joue du violon ... embarquement ... perte de billet pour d'Artagnan ... retour quand même ... arrivée à Paris ... fait froid mais c'est tellement bon (santé !!) !!
Merci aux lutèce, à tous ceux qui étaient présents et à tous ceux qu'on n'a pas croisé dans notre périple...

Alka


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NICE-PARIS SG

Pour ce déplacement, seul un Kriek est sur la liste des partants, la faute à ce match un mercredi. C'est donc seul que j'arrive au rendez vous pour le car commun Karsud-Supras-Tigris. On dit au revoir aux Lutèce et on décolle avec un chauffeur yougo qui s'annonce très fort. Il est donc 1h du matin quand nous partons, les premières boissons alcoolisées et les premiers bédos font leur effet, et les premiers arrêts ravitaillement ont lieu. Bouzou des Supras nous gratifiera d'ailleurs de deux belles galettes. Je passe sur les autres détails du voyage, on arrive aux alentours de midi à Cagnes sur mer, là où on a prévu de passer une après midi sympa.
Pause McDo pour certains, pause crèpe-demi pour d'autres. Vers 15h30 pétage de câble de notre chauffeur, il nous dépose à l'aéroport et se tire au stade, très sympa. On attends donc 2h30 à l'aéroport que les autres mecs d'Auteuil arrivent. Ceci fait c'est un départ direct de la centaine de parisien dans un bus municipal. Le bus est transformé en coffee shop roulant, un bon délire, le tout sans flics autour. Les contacts téléphoniques nous renseigne sur ce qu'il se passe près du stade, et nous retrouvons les KSD pour aller directement là où tout se passe, dans les petites rues derrière la populaire Sud.
On y arrive après un bon 200m sprint pour rejoindre les indeps et boys. Et on apprend qu'un mec de Boulogne s'est fais poignardé par des niçois (l'infâme est un vendeur de kebab..). Ceux si sont armés (pelles et couteaux entre autres). Quelques charges ont lieu sur les CRS qui nous repoussent finalement. On part en cortège vers notre tribune, une charge est lancée à l'initiative des Ksd et Tm, et on rentre enfin dans le parcage 10mn avant le début du match.
L'ambiance pendant le match sera bizarre, alternant les très bon passage et le silence absolu. Coté niçois, c'est assez décevant, même si le tifo des BSN rendait bien. Le match sur le terrain est pour une fois pas trop mal, et c'est peu avant le coup de sifflet final, que les indep commencent à balancer les sièges de notre parcage. Peu à peu ça devient le chaos, siège sur le terrain etc... les stadiers évacuent les derniers niçois et on peut enfin repartir chez nous. Dans notre car quelques passager de plus, et on repart. Au passage devant une cité des racailles nous caillassent une fenêtre avant de prendre la fuite. Le chauffeur multipliera ses "blagues" tout au long du retour et c'est vers 11h qu'on regagne notre belle ville.

Courage à K. des Gavroches ...

Kant


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